Pour ses lignes vouées au grand air, Minotti s’est reposée sur ce qui a fait le succès de sa dernière collection indoor : le carré, le rectangle et le cercle. Cela tout en restant fidèle à ce qu’elle défend depuis les débuts : le mobilier haute couture, les finitions sophistiquées, la patte artisanale… Philosophie qui a fait ses preuves puisque, parallèlement à l’intérieur, Minotti conçoit de plus en plus de projets d’aménagement extérieur pour jardins et terrasses, privés ou publics, voire pour des yachts…
Les points forts de Minotti
Canapé, fauteuil, chaise longue, daybed à dossier inclinable, petite table carrée… La gamme « Sunray », dessinée par Rodolfo Dordoni, s’inscrit dans cette démarche et multiplie les déclinaisons. Ses points forts : le canapé d’angle, avec sa structure en teck et son dossier incurvé en cordes tressées ; la banquette Sunray Luke, devenant assise, repose-pied ou meuble d’appoint ; les petites tables en métal Sunray Meg, de tailles et de hauteurs variables, et leur plateau laqué blanc, rouille ou vert kaki.
Dessinée en 2017 pour l’indoor, la ligne « Florida » se pare désormais de teck dévolu à l’outdoor et bénéficie d’un rembourrage en mousse habillé d’un revêtement en tissu hydrofuge résistant aux aléas climatiques. Sa petite table en teck s’harmonise, elle, parfaitement avec ses équivalentes de la gamme « Block Outdoor », aux lignes sculpturales, et dont le plateau en pierre de Cardoso ou laqué repose sur une structure, en teck aussi, prenant la forme d’un L ou d’un T renversé.
Un travail de haute ébénisterie
Avec « Fynn Outdoor », le studio GamFratesi jongle entre les inspirations scandinaves et italiennes pour accoucher d’un travail de haute ébénisterie entièrement manufacturé, qui se décline en fauteuils, banquette, repose-pied, tables basses et table à manger en teck toujours.
Entre influences japonaises et mobilier américain
Même épure avec « Daiki Outdoor », ligne dessinée par le Brésilien Marcio Kogan (Studio mk27), mêlant influences japonaises et ré-interprétation du mobilier américain des années 50. Et, pour clore le chapitre, le studio de création de la marque a aussi lancé les tapis Kyoto, très fifties également, et Avery, en maille tressée, l’un et l’autre tissés en fibre de polypropylène respirante, résistante au soleil et aux intempéries. L’été sera radieux…
> Renseignements sur le site de l’éditeur.