Dévoilée au mois d’avril par Luceplan, la lampe Amisol arrive enfin sur le marché. Conçue pour occuper un maximum d’espace avec le minimum de matière, la dernière suspension de Daniel Rybakken se fait aussi minimaliste que théâtrale.
Maintenue par un cerceau en aluminium, une membrane translucide ou métallisée diffuse ou réfléchit la source lumineuse issue d’un puissant projecteur suspendu à des câbles qui varient en longueur pour modifier l’orientation du disque. Un vocabulaire de formes sans fioriture, mais à l’effet décoratif indéniable. Notamment dans les versions métallisées, parées d’une finition dorée ou argentée qui reflète leur environnement.
Pensée pour éclairer des espaces domestiques, professionnels ou même hospitaliers dans lesquels elle s’intègre parfaitement grâce à la pureté de ses lignes, Amisol prodigue une lumière poétique, qui se rapproche de la lumière naturelle. Un éclairage subtil qui est le fruit de nombreuses années de recherches effectuées par le designer norvégien, déjà créateur de nombreux luminaires pour Luceplan.
Diplômé en arts appliqués depuis moins de dix ans, Daniel Rybakken a déjà signé sept modèles pour le catalogue de la maison d’édition milanaise. En 2014 et 2016, celle-ci remporte d’ailleurs le Compasso d’Oro grâce à deux de ses créations. La première, Counterbalance, tire son nom d’un système simplissime qui utilise le poids d’un abat-jour en aluminium pour le positionner à n’importe quelle hauteur le long d’un axe vertical.
Deux ans plus tard, Ascent s’inspire du même axe et de la même volonté de jouer avec le déplacement. Sauf que cette fois, la lampe gagne ou perd en intensité lumineuse au fur et à mesure que l’on déplace l’abat-jour. Une technologie plus avancée, mais toujours utilisée dans l’optique de procurer un « impact décoratif » malgré une grande sobriété. Certainement le secret du design intemporel…
Amisol est disponible à partir de 896€ (TVA non comprise).