1/ Les dégradés de Raw Edges débarquent chez Vitra
Convié à aménager un étage de la VitraHaus, Raw Edges a pioché dans l’incroyable collection de mobilier de l’éditeur et a agrémenté le tout d’objets ornés des motifs géométriques en dégradés, emblématiques de ce studio israélien. Une expérience qu’ils ont poursuivie en faisant tremper dans le même bain de couleurs du tissu, du bois et de la céramique. Ainsi est née la collection Herringbone, composée de coussins, récipients et objets décoratifs qui déclinent ce motif. J.-C.C.
2/ Naissance d’une icône chez Seletti
La série de luminaires « Monkey » de Seletti est en train de décrocher le cocotier. Signée Marcantonio Raimondi Malerba, elle ne se composait au départ que d’une simple lampe, toute blanche, qui figurait un singe en résine blanche, douille à la main. Le modèle serait anecdotique s’il ne soulignait pas l’élégance du primate. Cet automne, le phénomène s’est développé en suspension formés des corps de quasi-danseurs de ballets. Ils renouvellent le genre en restant dans l’univers du design accessible et du LED durable qui n’éblouit pas. Cet automne, le lustre à trois singes est présenté en noir. Très graphique, sa silhouette évoque même les singeries des tableaux et dessins de la peinture classique. G-C.A.
3/ Céramique de papier chez Paola Paronetto
Originaire de Vénétie, la céramiste Paola Paronetto a débarqué en force à Maison & Objet. Son stand laissait exploser sa dernière collection baptisée « Paper Clay ». Vases, compotiers, coupes… Tous ont l’air de fragiles maquettes de papier et pourtant ils sont totalement fonctionnels. Ces pièces de formes variées sont harmonisées par une subtile palette de couleurs pastel. Chaque pièce est fabriquée à la main, donc forcément unique… Pour donner à son intérieur un air de tableau de Giorgio Morandi… J.-C.C.
> En vente dans une sélection de boutiques (Claude Cartier à Lyon, Jo & Léon à Paris, Elitis à Toulouse…).