7/ Alexandre Benjamin Navet et Paul Brissonnet
Votre projet ?
Imaginer une pièce où on ne distingue plus les murs, voilà l’utopie du projet. Après une tornade, la pièce est sens dessus dessous. Le sol entièrement recouvert de sable laisse apparaître des éléments de mobilier. L’espace se module en fonction des moments de la journée. Des coffres contenant les objets du quotidien ont la possibilité d’être apparents ou enfouis. Les murs sont à la libre disposition de l’habitant qui peut écrire ou dessiner dessus.
Un référent ?
Notre démarche est cette fois une antithèse de la décoration. Cela ne nous intéressait pas de marier le plus beau parquet avec la plus belle couleur. Il y a tellement de gens qui le font très bien. L’idée est de créer une expérience immersive où l’artiste renoue avec son imaginaire.
Qu’attendez-vous du festival ?
Rencontrer Arielle Dombasle.