Symbole de contemporanéité et de convivialité, l’îlot central peut vite encombrer l’espace. Surélevé, vitré, pensé sur quatre pieds ou jouant sur les couleurs de son revêtement, il délaisse son aspect massif, et c’est la cuisine entière qui s’allège.
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La cuisine familiale du projet Flandrin, travaillée en bois et en travertin, mise sur un plan de travail en porte-à-faux (Kelly Boukobza Architecture).
Le système de cuisine Novanta repose sur une base encastrée pour créer l’illusion que l’ensemble flotte au-dessus du sol. Le revêtement de la partie supérieure en acier inoxydable renforce cet aspect (Boffi).
Pour une sensation de lévitation, les dalles de grès cérame sont utilisées à la fois pour le piétement et pour les meubles, couleur Crema Marfil Puro (Marazzi).
Avec sa surface en PVD effet miroir, ce modèle Elementi en monolithe sculpté assure un jeu de réflexion qui ferait presque oublier son imposante structure (Snaidero).
Sur ce large îlot central en acier avec inserts en bois, le cadre en laiton massif et sa base en retrait offrent un allègement visuel (Officine Gullo).
Cette cuisine horizontale joue la discrétion pour sublimer l’essentiel : une crémaillère réglable en hauteur avec plaque de cuisson, évier et douchette télescopique (Bulthaup).
Avec son piétement de la même couleur que le sol, la cuisine Eikeli en lattes de chêne massif semble décoller du sol (Sigdal).
Le modèle Cinqueterre signé Vico Magistretti quitte terre depuis 1999. Un classique en aluminium anodisé revisité grâce à un plan de travail en pierre naturelle Portoro (Schiffini).
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