À l’inverse de ses confrères qui exercent en sous-sol, ce caviste joue la verticalité. Tapissant un escalier en colimaçon, les vins de Bordeaux, abordables au rez-de-chaussée, montent en rareté au fil des étages – le Mouton-Rothschild de l’an 2000 dont vous rêviez, à 2 200 euros les 75 cl, vous fera grimper quelques marches. Derrière cette enseigne, il y a le négociant Duclot, dont les chais démentiels renferment des millions de bouteilles.
L’Intendant
Tourisme