Si le noir était…

Fleuron de l'horlogerie suisse, la maison Audemars Piguet réussit depuis 1875 la subtile alliance de l'audace et des traditions.
Preuve en est la collection Code 11.59 by Audemars Piguet, qui s'enrichit cette année de cinq nouvelles références automatiques et cinq nouveaux chronographes à remontage automatique. Arborant des cadrans laqués complexes et une palette de couleurs nuancées, les dernières nées de cette collection revisitent avec brio un modèle iconique de montre ronde intemporelle.
Découverte de la couleur noire.

Une montre unique comme la Code 11.59 by Audemars Piguet

Les cinq nouvelles montres de la collection Code 11.59 s’inscrivent dans la longue histoire de la maison Audemars Piguet. Parmi les nouvelles références, le modèle noir brille par son élégance et sa discrétion. Ce chronographe automatique offre une boîte en or rose 18 carats, surmontée d’une glace saphir doublement courbée. Sobre et raffiné, le bracelet en alligator noir à larges écailles signe une esthétique sans fausse note. Le design du calibre 4401 laisse entrevoir des composants habituellement dissimulés au regard. La roue à colonnes ou la danse des marteaux peuvent ainsi être admirées à travers le fond. Cœur d’une montre que l’on se plaît à « voir vivre » sous nos yeux.

Un vêtement élégant comme le smoking de James Bond

Si le noir était un vêtement, il serait le smoking porté avec élégance par James Bond. Le célèbre agent secret est né en 1953 sous la plume de Ian Fleming, ancien espion britannique devenu écrivain à succès. La première adaptation au cinéma propulsera James Bond au rang de star planétaire, avec Sean Connery dans le rôle phare. Son titre ? James Bond 007 contre Docteur No. Au total, l’espion de Sa Majesté est apparu à 25 reprises sur grand écran. George Lazenby, Roger Moore, Timothy Dalton, Pierce Brosnan et Daniel Craig lui ont prêté leurs traits. Chacun d’entre eux ayant enrichi le rôle à sa façon, mais avec un charme jamais démenti.

Un sport intense comme le rugby des All Blacks

Si le noir était un sport, il serait le rugby pratiqué par les All Blacks. Équipe emblématique de l’hémisphère sud, la sélection néo-zélandaise a remporté le titre mondial à trois reprises. Avec 47 victoires, elle détient le record du nombre de matchs gagnés en Coupe du monde. Au-delà des statistiques, l’aura des All Blacks tient aussi à leur fameux haka. Danse guerrière héritée des traditions polynésiennes, il vise à impressionner les adversaires avant chaque match. Qu’on se figure quinze colosses, le regard fixe, dansant et faisant retentir à l’unisson leurs voix de stentors. Un spectacle folklorique qui appartient à la légende du rugby.

Un vestige inspirant comme l’amphore attique

Si le noir était un vestige, il serait la célèbre amphore attique figurant Achille et Ajax jouant aux dés. Peinte par Exékias au VIe siècle avant Jésus-Christ, cette céramique à figures noires est conservée au Musée du Vatican. Inspirée des récits homériques, elle compte parmi les chefs-d’œuvre de l’Antiquité. On peut y admirer Achille et Ajax se relaxant lors d’une phase d’accalmie de la guerre de Troie. Vêtus de leurs manteaux d’apparat, les deux héros de la mythologie incarnent ici la gloire d’Athènes. Sereins et rayonnants, ils offrent au regard leurs fines silhouettes noires sur fond rouge corail. Parfaite illustration de la splendeur grecque, alors à son apogée.

Un félin sauvage comme une panthère à l’affût

Si le noir était un félin, il serait une panthère à l’affût. Présente essentiellement dans les forêts tropicales d’Inde, de Malaisie et de Java, la panthère noire est parfaitement adaptée à son environnement. Tapie dans les sous-bois, elle se dissimule grâce à son pelage sombre qui la rend presque invisible à la nuit tombée. On l’ignore souvent, mais la panthère noire est en réalité un léopard. Elle doit sa couleur à une mutation génétique qui assombrit sa fourrure, au point d’en faire disparaître les taches. Un écart par rapport à la norme, dont la panthère noire a su faire un atout…