Une montre unique comme la Code 11.59 by Audemars Piguet
Référence emblématique de la collection Code 11.59 by Audemars Piguet, le modèle bordeaux illustre les valeurs inscrites dans l’ADN de la maison Audemars Piguet. À la carrure octogonale de la boîte répondent les lignes douces de la lunette ronde extra-fine. L’ensemble est sublimé par une glace saphir doublement courbée, dont le verre antireflet apprivoise la lumière. Jouant résolument la carte du contraste, ce modèle séduit par le dialogue réussi du cadran laqué bordeaux et de la boîte en or gris 18 carats. Côté bracelet, la même alternance est à l’honneur avec les larges écailles en alligator bordeaux, ponctuées d’une boucle ardillon en or gris 18 carats. Un parti pris esthétique qui fait la part belle au bordeaux, couleur chargée de symboles..
Un arôme intemporel comme le vin du Médoc
Si le bordeaux était un arôme, il serait celui d’un vin du Médoc, fleuron de la viticulture. Cabernet Sauvignon, Merlot, Cabernet Franc et Petit Verdot : ces quatre cépages aux personnalités propres entrent dans la composition des grands crus du Médoc. De leur assemblage naît l’âme de chaque vin. Leur identité est à la fois multiple et cohérente. Il s’y devine ainsi la richesse d’un terroir sublimé par la main de l’Homme depuis des siècles. Reflets lumineux, robe nuancée et arômes puissants : les vins du Médoc portent l’empreinte de la presqu’île qui les a vus naître. Joyaux éternels et sans cesse réinventés, qui surprennent sans jamais se trahir, millésime après millésime.
Une équipe visionnaire comme le Torino
Si le bordeaux était une équipe, il serait le Torino qui régna sur le championnat italien de football dans les années 1940. Fierté du Piémont, le club est né en 1906 sous l’impulsion de l’homme d’affaires suisse Alfred Dick. Rival de la toute puissante Juventus Turin, le Torino a remporté son premier Scudetto en 1946. Suivront trois autres titres consécutifs de champion d’Italie pour cette équipe conduite par le talentueux Valentino Mazzola. Un meneur de jeu au style étonnamment moderne pour l’époque et qui a contribué à écrire l’une des plus belles pages de l’histoire du football transalpin.
Une corporation innovante comme les teinturiers anglais du XIXe
Si le bordeaux était une corporation, il serait celle des teinturiers anglais du XIXe qui lui donnèrent son nom. Guidés par un sens aigu de l’innovation, ils exploitèrent les progrès de la chimie – alors balbutiante – pour mettre au point de nouveaux colorants aux notes soutenues. C’est dans ce contexte d’effervescence créative qu’est ainsi née la teinte bordeaux. Elle fait donc référence à la couleur des vins français déjà appréciés de l’autre côté de la Manche. Un premier brevet fut déposé par la maison Meister, Lucius et Brüning en 1876. Prélude à la diffusion du mot bordeaux en tant que couleur dans le langage usuel.
Un lieu à la beauté composite comme l’Aquitaine
Si le bordeaux était un lieu, il serait cette Aquitaine à la beauté composite. Riche de son passé, elle fut d’abord une province romaine née sous le règne de l’empereur Auguste. Son nom ? Aquitania, allusion au mot latin aqua qui évoque la présence toute proche de l’océan Atlantique. Lovée entre terre et mer, l’Aquitaine se nourrit de ces deux influences entremêlées. Criques presque sauvages, dunes à perte de vue ou montagnes aux flancs escarpés : rares sont les régions qui offrent une telle diversité de paysages. Écrin naturel au milieu duquel s’insère la ville de Bordeaux, unanimement reconnue comme l’une des plus belles métropoles européennes…