Une montre unique comme la Code 11.59 by Audemars Piguet
Cinq nouvelles montres font leur entrée dans la collection Code 11.59 by Audemars Piguet. Parmi celles-ci, la référence bleue est promise au rang de classique immuable. Alternant les surfaces satinées et polies, sa boîte octogonale est surmontée d’une lunette ronde extra-fine. Réalisée dans un verre antireflet, la glace saphir offre ainsi un confort d’utilisation optimum. Côté esthétique, le bleu fumé du cadran laqué séduit par ses nuances intenses et profondes. Des nuances qui courent également le long du bracelet à larges écailles en alligator bleu. Souple et ergonomique, il est rehaussé d’une boucle ardillon en or rose 18 carats. Complément idéal au bleu océan, couleur riche de sens…
Un joyau de l’architecture moderne comme le Concert Hall de Copenhague
Si le bleu était un édifice, il serait le Concert Hall de Copenhague, dessiné par l’architecte Jean Nouvel. Inauguré en janvier 2009 par la reine du Danemark, l’édifice est l’un des joyaux de l’architecture moderne. L’ensemble prend l’apparence d’un cube, dont les façades bleues translucides sont éclairées dès la nuit tombée. À l’intérieur, les vastes volumes font la part belle au béton mais aussi au verre. Mariage harmonieux à mi-chemin entre pesanteur et légèreté ! Au-delà du parti pris esthétique, le choix des matériaux a été dicté par la recherche d’une acoustique irréprochable à l’intérieur de la salle de concert. Véritable écrin où se produisent les orchestres les plus prestigieux de la planète.
Un papillon somptueux comme le morpho bleu
Si le bleu était un papillon, il serait le morpho bleu que l’on rencontre dans les forêts tropicales du Brésil, du Costa Rica ou encore du Venezuela. Considéré comme l’un des plus beaux papillons d’Amérique latine, il figure aussi parmi les plus grands. Qu’on imagine de larges ailes de couleur bleue métallique pouvant atteindre vingt centimètres de longueur ! Géant placide, le morpho bleu vole volontiers au-dessus des cours d’eau où il peut ainsi aisément déployer toute son envergure. Reconnaissable entre toutes, il se distingue grâce à sa silhouette parmi les hôtes de la forêt. Aux antipodes de l’habituelle discrétion qui prévaut en ces lieux..
Une audace comme le peintre Yves Klein
Si le bleu était une audace, il serait celle du peintre Yves Klein, qui lui dédia sa vie. Véritable météore, il s’est éteint à l’âge de 34 ans après une carrière fulgurante. Artiste autodidacte, Yves Klein découvre la peinture très tôt aux côtés de ses parents, eux-mêmes peintres. Vif, curieux et impétueux, il entame dès le milieu des années 1950 son « aventure monochrome ». Une quête d’idéal matérialisée par la réalisation de tableaux exclusivement bleus. Passé maître dans l’art d’associer les pigments, Yves Klein met au point une couleur qu’il qualifie lui-même de « plus bleue que bleue ». Une teinte aux notes intenses nommée IKB ou International Klein Blue, en référence à son génial créateur.
Un poème intemporel comme ceux de Paul Éluard
Si le bleu était un poème, il serait né de l’imagination féconde de Paul Éluard. Figure de proue du surréalisme, il marque de son empreinte la première moitié du XXe siècle. Traversée par l’exaltation du sentiment amoureux, son œuvre littéraire fait écho à sa vie personnelle. Avec un leitmotiv : libérer le langage en s’affranchissant de toutes les contraintes de la raison. C’est dans cette veine que s’inscrit le célèbre recueil L’Amour la poésie, paru en 1929. On y trouve notamment l’un des poèmes les plus emblématiques du surréalisme. Un texte passé à la postérité et récité par des générations d’écoliers. « La Terre est bleue comme une orange »…