Spiritual America IV, 2005, de Richard Prince, galerie Skarstedt. Dans l’art contemporain, il y a à poil et à manger. Et la femme est souvent mise à contribution pour faire œuvre de chair on va dire. A l’heure où la campagne électorale américaine bat son plein de sexisme et de machisme, on s’interroge sur cette représentation, certes triomphante, d’une certaine féminité US.