Collection Haensel Leith, la première galerie d’art destinée aux décorateurs

Fondée par Nathan Robin, la collection Haensel Leith propose aux architectes et décorateurs d’ajouter des œuvres d’art dans les intérieurs et ainsi développer tout le potentiel des lieux. En résulte un subtil dialogue entre espaces, objets design et œuvres d’art…

Un pied dans la mode, un autre dans l’architecture et le design du fait de sa pratique de photographe, Nathan Robin a eu l’idée d’intégrer des œuvres d’art dans les lieux qu’il capture pour les rendre plus vivants, plus habités. C’est ainsi que celui qui se définit comme « photographe le jour et galeriste la nuit » lance la collection Haensel Leith.



En résulte un laborieux travail de recherches et de rencontres avec les artistes. Pour le fondateur de la collection Haensel Leith, il s’agit avant tout « d’inscrire des objets dans des lieux pour faire jaillir de l’émotion et apporter une touche esthétique supplémentaire ». Conçue comme une véritable galerie digitale, la collection s’adresse tout d’abord aux architectes et designers qui voudraient sublimer leurs projets le temps des prises de vues.

Les toiles de la peintre Camille Cottier (« Les bonshommes 2022 ») viennent réchauffer l’atmosphère. À droite, la sculpture en bronze « Grand Bénatien » par Pascale Hamelin dialogue autant avec les couleurs des matériaux présents dans la chambre qu’avec la toile de la peintre.
Les toiles de la peintre Camille Cottier (« Les bonshommes 2022 ») viennent réchauffer l’atmosphère. À droite, la sculpture en bronze « Grand Bénatien » par Pascale Hamelin dialogue autant avec les couleurs des matériaux présents dans la chambre qu’avec la toile de la peintre. © Nathan Robin

Choisies avec soin, les oeuvres d’art s’adaptent aux espaces dans lesquelles elles sont intégrées. Nathan Robin tient en effet à ce qu’elles correspondent autant dans le fond que dans la forme à l’âme des intérieurs dans lesquelles elles sont placées puis photographiées. Ainsi, des oeuvres de la sculptrice Pascale Hamelin ont naturellement été associées à la maison d’un collectionneur tandis que les toiles du peintre Maxime Testu se sont retrouvées dans un univers haussmannien.

Deux toiles de Maxime Testu (« Prélude au yatch » / « Pour l’artiste et l’entretien ») associées aux sculptures en chêne massif de Valentin Abad, dotent quant à elles l’esprit minimaliste et historique des lieux d’une palette de couleurs bleues et d’une certaine légèreté.
Deux toiles de Maxime Testu (« Prélude au yatch » / « Pour l’artiste et l’entretien ») associées aux sculptures en chêne massif de Valentin Abad, dotent quant à elles l’esprit minimaliste et historique des lieux d’une palette de couleurs bleues et d’une certaine légèreté.

Pour composer la collection Haensel Leith, l’entrepreneur cherche donc avant tout des oeuvres à l’esthétique forte, capable de dialoguer avec les pièces de mobilier et l’architecture des lieux dans lesquels elles sont ajoutées. Si elles ne restent pas dans les espaces une fois qu’elles sont photographiées, elles instaurent un lien supplémentaire avec les clients qui peuvent les acquérir pour les garder chez eux. C’est donc une aubaine pour les architectes et les décorateurs, l’occasion de faire appel aux pièces de la collection Haensel Leith pour achever la conception de leurs espaces.

> Collection Haensel Leith par Nathan Robin, à découvrir ici.