Un pied dans la mode, un autre dans l’architecture et le design du fait de sa pratique de photographe, Nathan Robin a eu l’idée d’intégrer des œuvres d’art dans les lieux qu’il capture pour les rendre plus vivants, plus habités. C’est ainsi que celui qui se définit comme « photographe le jour et galeriste la nuit » lance la collection Haensel Leith.
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En résulte un laborieux travail de recherches et de rencontres avec les artistes. Pour le fondateur de la collection Haensel Leith, il s’agit avant tout « d’inscrire des objets dans des lieux pour faire jaillir de l’émotion et apporter une touche esthétique supplémentaire ». Conçue comme une véritable galerie digitale, la collection s’adresse tout d’abord aux architectes et designers qui voudraient sublimer leurs projets le temps des prises de vues.
Choisies avec soin, les oeuvres d’art s’adaptent aux espaces dans lesquelles elles sont intégrées. Nathan Robin tient en effet à ce qu’elles correspondent autant dans le fond que dans la forme à l’âme des intérieurs dans lesquelles elles sont placées puis photographiées. Ainsi, des oeuvres de la sculptrice Pascale Hamelin ont naturellement été associées à la maison d’un collectionneur tandis que les toiles du peintre Maxime Testu se sont retrouvées dans un univers haussmannien.
Pour composer la collection Haensel Leith, l’entrepreneur cherche donc avant tout des oeuvres à l’esthétique forte, capable de dialoguer avec les pièces de mobilier et l’architecture des lieux dans lesquels elles sont ajoutées. Si elles ne restent pas dans les espaces une fois qu’elles sont photographiées, elles instaurent un lien supplémentaire avec les clients qui peuvent les acquérir pour les garder chez eux. C’est donc une aubaine pour les architectes et les décorateurs, l’occasion de faire appel aux pièces de la collection Haensel Leith pour achever la conception de leurs espaces.
> Collection Haensel Leith par Nathan Robin, à découvrir ici.
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