India Mahdavi, Vincent Darré, Constance Guisset ou encore Axel Chay. Depuis plus de vingt ans, Monoprix nous régale de collaborations avec les grands créateurs du moment. Mais, depuis l’exposition « Le design pour tous : de Prisunic à Monoprix, une aventure française », du MAD, en 2022, tout semble s’accélérer : rétrospectives, rééditions d’objets cultes et toujours plus de designers invités à s’exprimer dans l’univers de la grande distribution. La dernière marque à s’être prêtée au jeu ? Honoré, la griffe marseillaise portée par Annick Lestrohan et sa fille Ingrid Giribone, signe une collection outdoor estivale qui fleure bon l’air de la Méditerranée.
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Pour l’été, Honoré souffle un air solaire
À l’évidence, après son esprit solaire, ce qui singularise le plus Honoré est son héritage familial. Fondée à Marseille en 1985 par Annick Lestrohan, mère d’une famille de cinq enfants, la marque se consacre à ses débuts à la maille pour femmes et bambins, afin d’« honorer sa tribu ». Quelques années plus tard, sa fille Ingrid Giribone rejoint l’aventure et insuffle à la griffe un vent nouveau de décoration.







Ces chandeliers ultra graphiques donneront la joie de vivre à toutes les tablées.
Mère et fille créent des pièces instinctivement infusées par leur quotidien 100 % méditerranéen, rappelant les nuances dorées du couchant, la mer, la beauté des choses simples et imparfaites… Rayures fines, dessins délicats à la main, mots poétiques à la volée, couleurs chaudes et ambrées, fer forgé, raphia, tout est conçu pour que les pièces – du mobilier, à la vaisselle, en passant par le linge de maison, la décoration et le luminaire – donnent un coup de fouet estival à n’importe quelle table ou intérieur.
Des classiques à prix Monoprix
Mardi 25 mars, Tuba Club, Marseille. Quel meilleur endroit pour dévoiler le fruit de cette collaboration que cette institution les pieds dans l’eau signée Marion Mailaender ? L’occasion de se plonger dans l’univers Honoré au doux parfum d’été et à l’accent chantant. Les fans de la première heure et les autres auront vite fait de repérer les déclinaisons inédites des fauteuils Eldorado et Croisette, baignés d’une lumière dorée.

Ou encore les vagues qui habillent le dossier du tabouret et les textiles douillets. Une fois encore – la chaîne de magasins a bien compris qu’ici se trouve sa force – l’enseigne revisite à prix Monop’ les grands classiques de la griffe qu’elle honore. Quant à la vaisselle, elle s’inspire de la course du soleil, capturant à jamais un bout de la belle saison.
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