Collection Vintage, la seconde vie selon Christofle

Patrimoniale par excellence, la maison Christofle n'hésite pourtant pas à embrasser son époque. Et pour cause, l’orfèvre parisien met désormais à la disposition de ses clients une plateforme de reprise de leurs pièces. Des objets qui s’offrent une nouvelle vie, via la Collection Vintage.

Voilà une nouvelle qui devrait combler tout le monde. D’un côté les heureux propriétaires d’objets Christofle désireux de faire de la place dans leurs tiroirs pour de nouvelles acquisitions. De l’autre, ceux qui souhaitent s’offrir une pièce du célèbre orfèvre, sans en payer le prix fort. En effet, il est désormais possible d’acheter et surtout, de revendre, des modèles du fabricant français par l’intermédiaire de la maison elle-même. Des pièces qui, une fois remisées, rejoignent la Collection Vintage.


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Des pièces à faire approuver

Pour soumettre son candélabre oublié au fond d’un placard, rien de plus simple. Sur le site, un catalogue de reprise liste les objets que Christofle souhaite réintégrer à sa fameuse collection – raretés, pièces d’exception, plus en production… Si votre pièce y figure, il faudra ensuite s’assurer de la présence de poinçons, prouvant son origine.

Une fois cette étape passée, la pièce estimée est à envoyer ou à porter dans la boutique parisienne de la Rue Saint-Honoré, où les experts valideront la reprise. Celle-ci approuvée, le virement bancaire se fera sous 72 heures, la carte cadeau sera reçue sous cinq jours ouvrés pour une reprise en ligne, ou tout de suite pour une reprise en magasin.

© Christofle
© Christofle

Christofle dans l’air du temps

Si Christofle proposait déjà la vente de pièces de seconde main, il ne s’agissait jusqu’alors que d’objets dénichés par les équipes de la griffe. Du côté des nouveaux acquéreurs, la plateforme est on ne ne peut plus intéressante, car elle permet de s’offrir des pièces à des prix bien inférieurs, parfois trois fois moins cher !

Une démarche qui répond à un soucis d’économie circulaire et qui offre également la possibilité de redécouvrir des modèles cultes ou tombés en désuétude, à l’instar de la pince à asperge. L’occasion pour Christofle – et ses aficionados – de renouer avec son large patrimoine.

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